Coco s'étant approprié ce poulailler

Ne voulait plus en partir se trouvant bien loger

Mais soudain un copain arrive sur les lieux

Et s'accapara Coco qui n'a pas trouver mieux,

Que de partir avec lui  et s'est envolé.

Deux amoureux dans les airs,

Volaient, volaient,

Deux amoureux dans les airs,

Volaient, volaient,

Pour prendre l'air. 

Nous apercevions dans le ciel,

Ces deux amoureux qui virevoltaient,

Puis s'amusaient ensemble,

Pour se fondre dans le ciel,

Afin d'être heureux ensemble,

Et partir définitivement,

Pour l'éternité.

Fleurs de jardin,

Fleurs des champs,

Ton joli parfum

Nous émerveillent tout le temps.

Bourgeons,

Boutons,

Tu prends l'allure d'une fleur

qui s'ouvre petit à petit,

Avec cette senteur

Pour nous faire plaisir.

Tu es la reine de la gaieté

Et de la souveraineté !

Tu nous dégage de la chaleur

Et aussi beaucoup de bonheur.

Par tes couleurs étincelantes,

Tu orne les paysages de mille feux,

Ce qui rend la vie éclatante,

Et donne vie, c'est merveilleux.

Que tu es belle et apaisante

Que tu es jolie et reposante

Avec ton air iodé, ton eau salée

Tu es ravissante l'été.

J'aime le bruit de tes vagues

Qui frappent contre les rochers

En faisant des tourbillons et des sillons

Sur la plage où tu arrives

Et repart à la dérive.

Je navigue sur l'océan

Entre les courants

Je navigue sur l'océan toujours en mouvement

Parfois déchainée

Parfois je lutte contre vents et marées.

Je nage sur cette mer

Lorsque le soleil réchauffe la terre

Sur cette mer pleine de saveur

Qui donne de la fraîcheur.

Je me promène le long de cette plage

Lorsque la chaleur se fait sentir

Pour me rafraîchir 

Avant l'arrivée de l'orage.

Que ces tourterelles sont belles

Avec leurs ailes !

Elles volent de branche en branche

En ce beau dimanche

Venues ici par hasard

Pour prendre un nouveau départ.

Un poulailler bien tranquille, qui se trouve dans une campagne calme et sereine, où les poules picorent des graines et autres aliments à terre, donnés par les propriétaires des lieux, se retrouvent, un jour, avec un petit compagnon

« le pigeon ».

D’où viens-tu cher pigeon ?

Pour t’emparer si bien cet endroit.

D’où viens-tu cher pigeon ?

Pour te  loger dans ce lieu, où il y a un  toit et à manger.

Il est bien seul, sans ami ni mari.

Qui pourrait nous dire l’objet de sa présence ici ?

Nul ne sait le pourquoi,

Nul ne sait le comment, l’arrivée de cet oiseau dans ce lieu,

On dirait qu’il veut se prendre pour le Roi.

Un jour, ce pigeon était couvert de sang, mais ne semblait pas malade.

Une bataille a du éclater entre celui-ci et les poules qui l’ont picoré de plusieurs coups de bec, vu les traces apparentes.

Mais ce pigeon est toujours là, malgré les aléas qu’il a pu subir.

Comme celui-ci insiste et veut rester malgré tout, nous l’avons surnommé « Coco ».

C’est notre « Coco » mystère.